Il se sentait prêt. Oui le grand jours était enfin arriver. William allait ce remettre à l'écriture. Il était un de ces poète inavoué, dont on ne trouve les écrits qu'après leur mort et dont leur succès dépasse les siècles. Mais William n'était peut être pas doué à ce point. Il avait eu beaucoup de succès à Londres. Mais une fois qu'on eu attendu de lui qu'il écrive d'avantage, son âme s'était comme verrouillé à double tour, l'empêchant d'accéder à son imagination. Trop de pression. Pas seulement. il avait exorciser tout ce qu'il avait en lui dans ce recueil.
Mais ici, à Meryton, il avait vécu sa vie plus intensément que jamais. De nouvelles sensations l'envahissaient constamment, l'amitié, l'amour, la joie de partager, la volonté de créer des liens...

La vie l'avait quand même gâté. Et il comptait bien s'en souvenir quand la vie lui jouait des tour, quand elle jouait contre lui plutôt qu'avec lui. Mais c'était bien facile à dire maintenant, mais quand le moment viendrait de s'en souvenir, sa mémoire lui ferais probablement défaut. Homme de néandertale ce prenant pour un artiste, c'était pas bien étonnant qu'il se fasse si peux de vrais amis à Londres. Les gens ne creusaient pas plus que sa les personnalités des gens. Des infos sur l'arbre généalogique, le carnet d'adresse et le nom des propriétés de la famille suffisaient.

Mais ici, dans la plaine, il entendait des enfants rire près d'une rivière, il voyait des passants portants des paniers pour des pic-niques. Tout semblait si vivant qu'il ce prenait comme une gifle de vitalité à chaque fois qu'il mettait le nez dehors. Après tout peut être qu'ils avaient eu raison de l'envoyer dans cette ville. William semblait s'y épanouir

Il étala une couverture sur un coin d'herbe sous un arbre, le soleil était haut dans le ciel, et s'étendit dessus. Il ferma les yeux un moment et apprécia les bruits de la nature. Puis il attrapa ces feuilles qu'il avait apporter: tous les poèmes inachevés. Il ne comptait pas laisser tout ça à moitié fini. Il comptait soit les compléter, soit les brûler si ils n'étaient pas assez bien ou plus au goût du jour.
Et la il ce plongea dans la poésie. Les rimes couraient le long des feuilles, la plume dansait sur le papier, son âme entière était diriger sur les mots.

C'est donc tout naturellement qu'il ne sentit ni ne vit pas le temps changer. Au soleil, les nuages le firent disparaire, la température chuta un peu, et le vent ce mit à souffler doucement. Et ce qui devait arriver arriva.
Une rafale un peu plus grosse que les autre balaya la couverture et fit envoler son travail.

Il ramassa tout ce sur quoi il réussi à mettre la main. Une bonne partie, mais pas la totalité il le savait.
Aujourd'hui devait être un jour de chance car telle ne fut pas sa surprise quand il vit une ravissante jeune femme (il n'avait encore jamais vu de jeune femme qui ne soit pas belle à Meryton) sortir de derrière les arbres, un paquet de feuille dans les mains.
Béni soit le ciel, son pseudo talent était sauvé.

Spoiler:

La pluie ce mit à tomber comme par volonté divine. La jeune femme ne pouvait pas commander aux nuages, il n'y avait donc aucune autre possibilités. Mais cela lui était égal. Elle tenait sa vie entre ces mains. Encore sauver par une femmes. Ces habitantes bouleversaient tant et bien l'ordre naturel de choses de façon tellement facile ce s'en était troublant. Il ce redonna contenance et leva la tête.
La jolie brune apparaissait quand même telle un sauveur, portant dans ces bras son butin si important à ces yeux. Celle situation cocasse allait très certainement lui donner de quoi écrire. La poésie n'était plus sa seule amie maintenant. Il avait Harmony pour finir cette parfaite journée. Heureusement qu'elle a été la... remercia-t-il silencieusement le ciel. Il n 'aurait pas supporter la perte de son travail. S'attacher à si peut de choses pouvait être néfaste. Dès qu'une de ces chose partait, on ce sentait comme abandonner.

Il était temps de ce mettre à l'abri, le ciel grondait et était zébré d'éclairs. Il fallait trouver un refuge et ne pas rester sous le couvert des jeunes arbres.

Dans la précipitation il s’emmêla les pieds dans la couverture au sol. Mine de rien il la ramassa, les autres papiers qui ne se trouvaient pas encore dans les mains de la jeune femme qu'il était sur d'appeler Harmony, comme pour la musique. Il attrapa son sac, fourra la couverture dedans, ce releva à toute vitesse et tendis galament son bras à Harmony.

"Nous allons devoir nous réfugier dans la forêt très chère amie, j'espère que cet orage passera vite, nous sommes complètement