Enfin le soleil se levait, réveillée par cette lumière qui passait entre mes volets, par la chaleur qui se posait sur mon corps, et par la douceur de ce minuscule vent, les oiseaux chantaient, l’odeur des fleurs venait a moi mais aussi l’odeur du petit déjeuner qui commençait a être servie. On pouvait entendre tout le régiment se levait, je le sentais, ce jour allais être magnifique. Il manquerait toujours quelque chose, surement mes parents, leur visage et leur sourire mais je dois y faire face et apprendre a vivre avec car ils seront a jamais en moi, dans mon cœur pour une éternité. Je soulevais légèrement mes draps de mon corps et me dirigeait en robe de chambre dans ma salle de bain. Après m’être prélassé dans mon bain, je sortis avec une grâce pur, je portais une robe, magnifique a vrai dire, elle m’avais été offert par ma mère pour mon dix neuvième anniversaire, elle était blanche, décolleté avec de la dentelle par-dessus ma poitrine, par trop longue, ni trop courte, légère pour ne pas me faire envahir par la chaleur et surtout, parfait pour un jour d’été, parfait pour cette journée. Je descendis a table, afin de prendre le déjeuner avec toute mon humble compagnie, ma deuxième famille, le régiment. Tout étais présent sur la table, du thé pour nous jeune demoiselle, du chocolat chaud au cas ou, du café, du pain, des petits pains et des croissant frais apporter par le boulanger lui-même pendant sa visite ce matin, tout le monde paraissait heureux en cette journée, j’en étais sur, rien ne pouvait gâcher cette journée. Enfin jusqu'à ce que ce moment arrive. Le capitaine Henry Fieldway, attendais qu’un silence complet arrive afin de nous annoncer quelque chose, je me trouver a sa droite et en me regardant gentiment, il me fit par de cette nouvelle qui me concernait plus que quelqu’un d’autre apparemment.

Henry : « Miss Monroe, je suis sur que vous apprécierez cette nouvelle. Voyez- vous, j’ai reçu une lettre des Mansions aujourd’hui et j’ai appris par notre courrier que nous devions nous y rendre, a vrai dire un certains Alexander Chesterfield aurait appris votre arrivé en ville et souhaiterais vous rencontrer, d’après ce que j’ai pu comprendre vous étiez de humble amis à votre époque d’adolescence. Nous partirons dans une heure, après le déjeuner. »

Charlotte : « Très bien, Monsieur Fieldway »

Tout avais changé, finalement, la journée n’allait pas être aussi parfaite que je n’aurais pus le pensée. Cette nouvelle m’avait totalement chamboulé, mon regard pétillant avait changé, il était devenu plus triste et il s’était rempli d’eau comme si les larmes allaient coulée. Henry, ne comprenait guère ce qui m’arrivait, d’ailleurs je ne pouvais l’expliquer. Alexander avait été, une romance d’adolescente, qui n’a jamais eu lieu d’ailleurs. Trop jeune, trop surveillée, trop entourée et trop aimée par sa famille. Nos parents rivaux, lui jaloux de ma famille, de ma « bulle d’amour », de mon bonheur. Je l’avais aimé comme je n’avais jamais aimé. Ce sentiment m’avait anéantie pendant deux ans, je m’étais relevée puis j’avais plongé de nouveau dans la déprime au mois de juin 1813 puis de nouveau un an plus tard. J’en suis sure, si il voulait me voir sa devait être pour me dire son contentement de mon malheur, c’est ce qu’il a toujours voulu. Après avoir fini de déjeuner je sortis avec Crystal dans le jardin avait de nous balader en bonne compagnie, de discuter sans soucis et nous révélant nos petit secret, elle avait bien compris que quelque chose m’avait blessée au déjeuner pendant la nouvelle que Henry m’avait annoncée. Elle ne comprenait pas, personne ne pouvait comprendre.

Crystal : « Miss, expliquez moi je vous prie, que c’est-il passait pendant le déjeuner ? On l’a tous remarquer vous étiez toute chambouler »

Charlotte : « Ma chère amie, voyez vous, je ne peux le garder pour moi plus longtemps. Alexander Chesterfield est un homme qui se réjouit du malheur des autres. Alors que je n’avais que 15 ans, j’étais complètement sous son charme, il était beau et d’une douceur avec une élégance malheureusement rare chez les hommes. Il faisait chavirer le cœur de nombreuses filles, c’est un goujat, un homme a femme sans aucun respect pour notre sexe. Et pourtant me tenir loin de lui m’étais difficile, il avait 26 ans je crois et j’étais bien trop jeune, de plus nos parents était rivaux et lui détestait ma famille a son tours mais pas pour les même raisons que ces parents. Il était éperdument jaloux, de moi et de ma famille qui m’entourait. S’il veut me voir aujourd’hui c’est juste pour me dire son contentement son bonheur de voir ma famille ruinée a jamais »

Un long silence, pesant et pénible se posait a ce moment précis. Henry venait me chercher dans la cours, moi qui avait mes cheveux attachés pour le petit déjeuner, je l’ai détaché et mes long cheveux blond dorée ornée mes épaules avec une magnifique grâce, je passais par ma chambre et pris mon ombrelle blanche, ma favorite. Je demandais a monsieur Fieldway de nous y rendre a pied, sans calèche ou autre élément un peu trop voyant à mon gout, le soleil était présent et je voulais encore profiter de nos derniers instant de tranquillité, et de voir les gens passaient, se baladait, allait prendre le thé. Les enfants qui s’amusait avant de retrouver mon sois disant ami. La ballade se déroulait a merveille, tout était comme je l’avais imaginé, le village en pleine action, le marché a fruits et légumes était présent ainsi que les passant, les enfants. Devant une vitrine mon œil se posait, une magnifique bague ornée le doigt d’une mannequin. Je l’avais remarquée, je l’aurais. Nous continuons notre ballade, nous nous approchions de plus en plus du but. Mon cœur s’accélérée de plus en plus. La chaleur montait en moi, je me sentais mal très mal à l’idée de le revoir. J’avais l’impression que j’allais me rendre a une bataille donnée dans le village, tellement que tout ces sentiments me submergée. J’avais du mal a comprendre, d’ailleurs je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Nous y étions, a la mansion de monsieur Chesterfield. Henry entrait d’un pas décidé nous croisons quelqu’un que nous pensons être une sorte de majordome.

Henry: « Bonjour monsieur ! Veuillez je vous prie, prévenir monsieur Alexander Chesterfield que comme a sa demande, Henry Fieldway et Miss Monroe sont arriver afin de le rencontrer. Merci très cher. »

Le soleil qui était de mille feu, m’accompagner ainsi que Henry. Il tapait sur nos têtes, mon ombrelle me protéger de ces rayons incessants produits par l’effet de serre. Je discuter avec Henry en attendant notre rendez vous qui visiblement ce laisser attendre, il n’avait pas changé, on ne fait pas attendre une dame, même si ce n’est qu’une Miss. Enfin, il fit son entrée, il n’avait point changé, un peu vieillit par le temps qui venait de passer, toujours d’un beau brun ténébreux, rien n’avait pour ainsi dire changé en lui. Il était beau certes mais j’avais bel et bien tournée la page sur lui et sur tout ce qu’il avait pu me faire subir il y a des années maintenant. Je n’étais plus comme toutes ces filles à ces pieds qui feraient tout pour un simple bonjour de sa part. J’étais une adulte responsable, je voulais être un bon souvenir de mes parents. Comme a son habitude, il saluait d’abord l’homme puis avec un ton assez ferme il proposait a Henry d’ allait au buffet. Il devait s’en doutait, comme moi je me doutais de ce qu’il avait dans la tête, juste pour ce retrouvé seule avec moi, faire partir monsieur Fieldway.

Charlotte : « Non, monsieur Fieldway, Henry très cher, restait avec nous. Cela me ferait une immense joie de passer une journée en votre compagnie. »

Malheureusement, Alexander insistait et au loin, je voyais Henry s’éloigner a vu d’œil, comme si qu’il partait pour toujours. Je me retrouvais seule avec ce goujat, rien ne me décevait le plus, dire que j’avais raison, la journée était gâcher rien que part sa présence. Je pris mon ombrelle de nouveau dans ma main, m’inclinais devant lui pour une forme de respect et de politesse envers lui et son rang. Un simple bonjour aurait suffit mais je ne voulais point lui adresser la parole pour le moment. Je fis demi-tour, et soulevait légèrement afin qu’elle ne traine pas a terre et ne salissent point, je me baladais dans le parc de sa demeure sans lui, qui restait pour ainsi dire de marbre au beau milieu de la cours. Une seule parole m’interceptait

Alexander : « J'ai appris la mort de vos parents, je vous présente mes condoléances. Mais une chose m'échappe : comment sont-ils morts ? »

Charlotte : « Je vous demande pardon ? Ce n’est pas une chose qu’on demande a une jeune demoiselle et cela ne vous regarde pas du tout. N’essayer pas de me faire croire que vous n’êtes point heureux a ce que je ressens maintenant, le malheur me hante, l’espoir d’une famille unie désormais briser. Vous devez bien être content quand vous avez appris la nouvelle, enfin Charlotte Monroe n’a pu de belle famille, elle n’a pu sa bulle de bonheur comme vous qui avez toujours était malheur dans votre pauvre famille minable »

Toujours aussi, arrogant. Rien que le voir me faisait un mal partout. En prononçant ces phrases je m’étais redeplacer juste devant lui, presque collée. Quelques millimètre nous séparée et il m’écœuré. Comment pouvait-il me posait une question comme celle la, je ne comprenais pas son comportement c’étais tout simplement irrespectueux envers, ma famille, moi et tout ceux qui aimait mes parents, tout le monde appart lui et sa famille de pacotie. Son air supérieure qu’il employait avec d’autre fille revenait, il mit ces mains dans mes boucles blondes dorée avant de les lâcher et de me murmurer.

Alexander : «N’êtes-vous pas heureuse de me revoir Miss Monroe ? »

Charlotte : « A vrai dire monsieur Chesterfield, cela dépend de comment nous voyons ce sujet. J’aurais été heureuse si vous étiez un ami de longue date, mais comment vous dire que vous êtes plutôt tout le contraire. Je me demande encore aujourd’hui comment j’ai fait pour avoir un béguin pour vous. Monsieur Chesterfield, je suis sur que vous n’avez point changer, vous m’avait invité ici juste pour pouvoir me montrer votre bonheur à l’idée de mon malheur. J’étais jeune mais sachiez que je ne reviendrais jamais vers vous. Une fois ma suffit a comprendre que vous n’étiez qu’un goujat, un homme a femme qui profite du malheur de la gente féminine, pour vous faire plaisir avec le plus possible dans votre lit, je ne suis point ce genre de personne sachez le. De plus que faire partir monsieur Fieldway juste pour vous retrouvez seule avec moi est tellement pathétique. Qu'avez vous peur Alexander ?»

Tout étais de sa faute, si on en était arrivé la aujourd’hui c’était de la faute de lui et de sa maudite famille. Depuis bien longtemps, bien avant qu’Alexander ou moi-même apparaissait dans ce monde, nos ancêtres, se détestaient. Personne n’avait jamais su pourquoi, les avis divergeait en tout genre, mais voyait vous, il y a peu lors de la mort de mes parents, j’ai trouvé une pile de journal, le journal que tout mes ancêtres avait tenue et dedans il y a avait les réponses a nos questions, pourquoi ? Comment ? Tout était écrit à jamais. Je n’en revenais pas, tout était en réalité de leur fautes. Un présent, notre beau Alexander m’offrait un présent, le posant délicatement sur la table, avec un signe distingué de l’ouvrir. Je m’approchais, abaisser mon ombrelle, pris la boite et il prit encore la parole avant que je ne puisse dire quelque chose.

Alexander : « C'est un présent, lorsque j'ai vue cette bague j'ai pensé à vous »

Charlotte : « Monsieur Chesterfield, je vous remercie de votre charmante intention, c’est bague est vraiment magnifique pour tout vous dire, je l’avais remarquée et monsieur Fieldway allait bientôt me l’offrir. Je ne peux accepter un cadeau de votre part de quelque sorte, je n’accepterais jamais un présent de votre famille, je vous pris de reprendre votre présent » Je lui redonner la boite dans sa main et restait devant lui. « J’espère fortement que vous pouvez comprendre ma réaction »

Sa façon de me tournais autour me donner le tournis sans savoir pourquoi. Il me regardait d’un air étrange qui me faisait comment dire, peur. Je ne le comprenais plus, il était si étrange avec moi un jour, et l’autre il me faisait des cadeaux comme si nous étions amis. Cette homme, était incompressible. De nouveau, il me parlait encore et encore.

Alexander : « Je suis désolé, ma question sur la mort de vos parents était maladroite, j'ai quelque effort en diplomatie à faire. Mais vous savez, j'ai perdu ma mère, elle est morte en me donnant la vie et je sais ce que c'est. Mais, je me dis qu'on ne peut jamais vraiment être un adulte, si un de nos parents est en vie. Vous êtes plus adulte que moi. »

Charlotte : « Monsieur, j’ai toujours était plus adulte que vous. Vous ne pourriez jamais être plus raisonnable que moi, j’ai toujours eu une plus grand gentillesse que vous, vous n’êtes qu’un hypocrite doublé d’un menteur »

D’habitude, j’étais une personne très gentille avec une certes classe et aisance avec les personnes, les gens de la ville, qu’il soit aristocrate ou non mais lui c’était au dessus de mes forces, je n’avais jamais ressentie sa pour quelqu’un auparavant.

Alexander : « Pour Monsieur Fieldway, j'aime que mes conversations restent privé, et j'aimerais que celle-ci le soit aussi. Puis, vous avez un portrait peu glorieux à mon égard, vous avez arrêté de me mettre sur un piédestal, vous avez perdu vos illusions c'est bien, mais je ne suis pas comme vous me décrivez, je ne suis pas un goujat qui profite de la faiblesse de la gente féminine ! Je cherche à me marier, je me suis posé voyez vous. Ma famille, je n'ai jamais vraiment eu de famille et ce n'est vraiment pas pour cela que je vous ai invité, pas pour voir votre malheur.
Puis ce sont nos parents qui se haïssaient, ne faisons pas la même erreur qu'eux, oublions ces querelles Charlotte, vous valez bien que ça ! Je n'ai jamais compris pourquoi nos parents se faisaient la guerre et je ne déclare aucune hostilité si je ne voies aucune raison pour. Faites de même Charlotte. »

Charlotte : « Je suis désolé monsieur Chesterfield. Bien sur que oui, j’ai grandis depuis et j’ai bien compris ce que vous et votre famille représentait envers ma famille. Comprenez Alexander, qui voudrait se marier avec vous, je crois que peu de jeune fille serait heureuse avec vous appart si vous les payer et que vous leur offrait tout les plus beau bijoux et autres qu’il existe dans ce monde. Vous vous ne savez peut être pas comment nos parents se détestaient mais voyez vous, j’ai enfin su toute l’histoire et tout sa n’est que la faute de votre famille. » Je pris place sur un banc du parc afin d’être plus a l’aise lors de mon histoire. « Alors, j’ai retrouvé les journaux de ma famille ceux qu’ils avaient tenue durant toutes ces années et voila ce que j’ai découvert, cela remonte au temps de nos arrière, arrière, arrière grand parents. Votre ancêtre était promis a mon ancêtre et celui-ci, n’a pas tenue sa promesse et la quittait une heure avant le mariage, il c’est donc enfui avec une paysanne qu’il avait trouvé dans les rues. Voila l’histoire de notre famille, qui est donc toute votre faute »

Je ne voulais pas me l’avouer surement, mais le vrai dans ces paroles était présent, il était beau comme un gladiateur, sexy comme Brad Pitt, mais passons. Ces mots était réaliste, tout était de la faute de nos ancêtres et aussi bien que lui, j’avais du mal a comprendre pourquoi nous nous étions fais la guerre durant toute ces années. Certes, i l avait quelque raison en plus qui quelques fois m’empêcher de le supporter. Mais cela allait changer, je le voulais, la vrai Charlotte au plus profond le voulait. Après qu’il est dit quelque mot, je prenais la parole.

Charlotte : « Tout est vrai, monsieur Chesterfield, cette bague me plait énormément et je ne sais comment vous l’avez su d’ailleurs, je l’ai justement remarqué ce matin dans la boutique du coin de la rue avant votre immense maison. » Un silence c’était installée pendant qu’il me mettait la bague au doigt. Un discours sur la maturité qu’il me tenait mais je n’écoutais que d’une oreille. « Vous avez raison monsieur, c’est tout ce qu’il nous faut arrêter de penser, a eux a tout ce qu’ils ont pu nous faire subir pendant toutes ces années, prenons un nouveau départ, nous pouvons le faire, a deux nous serons peut être plus fort qui sais ? » Le silence se prolonger, de nouveau mais cette fois ci, ce n’est pas parce qu’il parlait enfin presque, quasiment mais c’était bien plus compliquée, surtout quand il remuer le couteau dans le plat en parlant de notre passée, ensemble de tout ce que j’avais pu ressentir pendant un moment, les larmes me montaient aux yeux au même moment, tout était horrible, les souvenirs était triste, comme jamais, la voix pleine de larmes je répliquais : « Alexander, je.. Je , je ne veux pas parler de sa vraiment, c’est un moment de ma vie que je préfère oublier, vous m’avez fais souffrir mais si nous voulons repartir sur de bonne bases autant ne pas parler du passer, vous comprenez j’espère ? »

Un nouveau départ, tout allait être parfait. Enfin presque, je sortis un mouchoir qui était dans mon petit sac blanc et essuyer les larmes qui restait sur mes joues. Je continuais, a le regarder dans les yeux, sa bouche était magique comme à l’époque, il était toujours aussi beau et n’avait pas changé heureusement pour lui d’ailleurs. Alors que j’espérer avoir changé pour ma part, je n’étais pas vraiment a mon avantage étant petite, je ne portais jamais de décollète alors que sa avait changé, oui, ma mère ne m’autoriser point a en porter. Maintenant, j’étais devenue une vrai jeune femme, plus loin dans son jardin, il y avait un labyrinthe. Je m’approchais d’Alexander et lui murmurait a l’oreille.

Charlotte : « Excusez-moi, pour ce que je vais faire »

Je m’approchais encore plus de lui, lâchait mon regard de ces magnifiques yeux et l’embrassait, un baisser qui ne durait que quelques seconde. Je lui lâchait la main, et me lever, je soulevait ma robe laissant mon ombrelle sur le banc et je courrais alors dans le labyrinthe comme une jeune adolescente. Je poussais un éclat de rire.

Un baisser, c’est quoi au juste ? Deux âmes qui se rencontrent et qui passe enfin un bon moment pour une fois. A ce moment précis, la terre s’était arrêtée de tournait, le temps c’était figée comme jamais. Sa bouche, était d’une couleur parfaite, une douceur si rare et magnifique, ce baisser était comme le jour où on donne naissance a quelqu’un un moment magique et puissant que personne ne peut arrêtée. Enfin, je l’ai arrêtée pendant un léger moment, le temps de m’enfuir dans ce magnifique labyrinthe qui ornée son parc. Il revenait, me suivant comme personne ne m’avait jamais suivit, il s’approchait enfin de moi. J’étais contre cette haie de feuille et de branchage, il pris mon visage dans ces mains douce et m’embrassait une nouvelle fois, cette fois ci, ce baisser avait durait beaucoup plus que quelque seconde. Il était plein de passions en quelques sortes, il l’arrêtait au bout de nos minutes.

Un décor, magnifique. Pendant qu’il me prenait jusque d’en une salle dont je ne connaissais pas encore l’existence. Elle était magnifique, un grand lit deux places et même plus, le plafond si énorme et avec des motifs magique dessus. Elle était plus grande que le salon du régiment. Je ne contrôlais plus rien, je ne pouvais même plus penser tellement qu’il me hanter. Son esprit, son corps et depuis tout ce temps, il se retrouvait sur moi, comme dans mes rêves d’adolescente. Son corps était encore mieux que dans mes pensées. Je lui retirer son chemisier qu’il portait, de nouveau sur moi avec un torse magnifique. J’abaissais légèrement ma tête et embrasser son torse a plusieurs reprises. A ce moment là, tout était a peu prés parfait.

Alexander : « Voilà le meilleur moyen de prendre un nouveau départ »

Charlotte : « Oui, un moyen parfait »

Alexander continuait à m’embrasser et d’un seul coup, je ne sais pourquoi, mon esprit reprenait le contrôle et arrêtait son dernier baissé bien avant la fin. Pourquoi, il arrivait maintenant ce fichue esprit, cette conscience qui ne m’avait jamais joué de tours dans le passée. Quand j’étais amoureuse de lui, rien ne c’était passé alors sa ne sera pas maintenant.

Charlotte : « Ne crois tu pas que nous allons faire une bêtise … et puis peu importe. J’ aime beaucoup trop sa pour arrêtée. »

Un léger cris sortait de ma bouche, et contre toute attente naturellement. En un seul coup, quelqu’un était en train d’ouvrir la porte, enfin de mettre une clé dans la serrure. Alexander était toujours sur moi et on avait du mal a s’arrêtait et pourtant la porte s’ouvrait et j’apercevais la main de Lady Catherine Lefroy. Oh mon dieu, je n’arrivais pas a y croire. Alexander était torse nu et même si j’étais encore habillée tout cela paraissait étrange dans mon esprit. Je regardais Alexander, l’embrassait une dernière fois et je m’allongeais en dessous du lit, trouver Alexander seule était peut être plus raisonnable que de le trouver avec une fille dans un lit qui n’est pas le siens surtout en torse nu et elle en position pas très catholique si je peux dire ceci.

Seule en dessous du lit, c’est a ce moment la, que je comprenais que j’avais besoins de ce moment de fouge et de tendresse avec lui, j’en avais envie plus qu’une paire de magnifique ruban en dentelle dans une boutique. Mais je devais attendre, malheureusement pendant que notre lady faisait son entrée. Je ne l’entendais plus, ne savais plus comment il était, dans quelle tenue et dans quelle position. La porte s’ouvrit enfin en entier et lady Catherine fit son entrée.

Un moment avait passé depuis le départ de Lady Catherine, il c’est passé des choses pendant ce moment, une chose que maintenant je regretter plus que tout au monde. Je ne dormais point alors que lui dormais encore, je me levais du lit, ma tête pleine de pensée. J’étais dans la salle de bain de Lady. Sous une douche chaude, la buée remplissait la salle de bain, de la mousse partout sur mon corps, je sortis quelque minute plus tard. Je m’étais coiffée et j’avais enfilé ma robe de nouveau. Je connaissais Alexander et ce que je savais par dessus tout, c’est que ce n’étais qu’un homme, un homme a femme qui collectionner les conquêtes mais j’avais changé depuis et il ne connaissait pas la nouvelle Charlotte, la seule et l’unique. Je me rallongeais à coté de lui, et mon plan était en marche. Alexander se réveillée quelques minutes plus tard, il se rhabillée et sortais du lit, j’étais dos à lui, il croyait que je dormais et tout fonctionner comme je l’avais prévu. Notre cher homme a femme réfléchissait, surement à un moyen de se débarrassait de moi. Je m’étais levée du lit et il ne m’avait pas encore remarqué, je m’approchais de lui et lui murmurait a l’oreille :

Charlotte : « Alors, on essaye de se débarrassait de moi, monsieur Chesterfield »

Il se retournait et me trouver devant lui déjà habillée coiffée et maquiller, enfin prête carrément. Il ne savait que dire me voyant devant lui mais il allait devoir trouvé et vite. Je tournais autour de lui et avant qu’il ne puisse ouvrir sa bouche je répliquais :

Charlotte : « N’essaye même pas ne serais qu’une seconde de vouloir faire quelque chose de moi, vois tu je ne suis pas ton objet sur son point tu as interée à être d’accord avec moi. Deuxième point, je m’aperçois que tu m’as mentie, une nuit dans tes bras ce n’est pas si jolie, j’ai déjà connue bien meilleure que toi, je comprends pourquoi tu ne trouve pas de femme. Troisième point, tu ne vas pas essayer de te débarrassait de moi, c’est moi qui va partir. Et quatrième et dernier point, n’ose même pas une fois, raconter ce qui vient de se passer entre nous en disant que tu es le meilleur, sinon, je me forcerais de raconter a Lady Catherine se que tu as fait dans sa chambre et bien sur j’enlèverais les détails que j’étais consentante j’espère que tu as compris. »

La vengeance est un plat qui se mange froid Alexander Chesterfield et Charlotte Monroe n’est plus la petite fille que tu croyais être, elle a bien changé et elle est devenue une femme forte qui ne te laissera jamais gagner la partie. Après c’est petite phrase, je pris mon ombrelle et sortie de la chambre. J’allais dans le salon ou je traverser la pièce puis j’atterrissais dans le jardin ou se trouvait Lady Catherine. Attention Alexander a ce que tu pourrais faire a ce moment précis. J’eu un léger sourire qui se voyait sur mon visage, je tournais ma tête et je vis Alexander me regardant par la fenêtre, comme il pu le remarquer, je m’approchais de Catherine. A force de le regarder je lui fit un petit sourire diabolique sur une tête d’ange, il savait très bien ce qui allait se passer dans peu de temps. Devant notre Lady, je m’inclinais et je lui disais :

Charlotte : « Bonjour Lady Catherine. Je suis Charlotte Monroe, je suis venue accompagner de monsieur Fieldway. Je vient d’intégrer leur régiment »

Lady Catherine : « Miss Monroe, oui je vois tout a fait qui vous êtes, je vous ai déjà croiser en ville. D’ailleurs, je viens d’apercevoir monsieur Henry, un grand plaisir de vous avoir parmi nous. Soyez la bienvenue en ville, je vous pris, prenez place a mes cotés. »

Je me retournais et regarder Alexander me voyant faire amis amis avec Catherine, puis avec ma douce voix je rétorquais a Lady :

Charlotte : « Avec grand plaisir madame »