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Wanna Know More ? Alexander Richard Rosenbach pour vous servir, Lord Rosenbach plus exactement. Vous pourrez me retrouver au Royal crescent, endroit où je demeure. Habitant de Bath depuis de nombreuses années, je connais parfaitement la ville. Mon visage, je le dois à Alex Pettyfer

Step By Step

♣ Diplomate, Ingénieux, Stratège
Toute sa vie fut bercée par les règles du commerce. La diplomatie, le franc-parler, la stratégie. Etre le meilleur sur tous les plans, surtout les coins et recoins. Ce n’est pas pour rien qu’Alexander figure parmi les plus grands au sein du commerce. Cet empire, il le détient de son père, mais une chose est sûre, Alexander est bien meilleur que son défunt père. La diplomatie n’a aucun secret pour lui, il sait parfaitement utiliser et soupeser chacun de ses mots, tout comme il vous impressionnera à garder son sang froid dans n’importe quelle situation. Vous pourriez tout essayer, il ne s’énervera point, surtout si un contrat est à la clé. Bien évidemment, il lui arrive d’avoir de temps à autre un petit coup de sang, par ci par là. Mais la stratégie a fait de lui un homme à part, un homme hors du commun. Montrez lui la moindre faiblesse et il vous la retournera contre vous. Etre prudent est le meilleur conseil que l’on peut donner à ses adversaires, surtout face à un mot doté d’un tel génie ! Vous seriez surpris de savoir ce qui se passe réellement dans sa tête pendant qu’il vous parle. Vous le prendriez à coup sûr pour un fou, alors qu’il ne l’est point. Oh, ce n’est point de la manipulation qu’il exerce, il se dit plutôt rusé comme un renard. Un renard vraiment très malin, et adroit dans n’importe quelle conversation.

♣ Beau parleur, Séducteur invétéré, volage
Séducteur, Alexander touche à tout, enfin uniquement les femmes. Elles sont bien plus intéressantes que tout le reste, avec leurs silhouettes, leurs charmes et caractères. Sautant sur la moindre occasion, usant de ses charmes, il parvient toujours à séduire une petite donzelle. Ah les femmes ! Que ferait-il sans elles ? Rien malheureusement, il ne peut vivre sans la compagnie d’une femme. Euh rectification, il ne peut vivre sans la compagnie des femmes. Se contenter d’une seule n’est pas son genre. D’ailleurs pourquoi se contenter d’une seule, alors que des dizaines de femmes boivent ses paroles. Don Juan est bel et bien présent, personne n’échappe à se beau parleur. Beau parleur oui, mais il sait user des mots comme personne. Chaque personne veut entendre des mots bien spécifiques, c’est encore là une des faiblesses humaines. Une faiblesse qu’il ne considère guère avoir. Il faudrait être fou pour se déclarer si prompte à tant de balivernes, un compliment est tout le monde serait là à lui manger dans la main. Ces discours marchent très bien avec les femmes, mais également avec les hommes, enfin pas tous les hommes. Alexander connait quelques réticents face à son discours, chose qui finalement ne le dérange point. Tout ce qui le préoccupe, avoir une femme pour lui chaque jour et chaque nuit. La vie est bien trop courte, autant en profiter. Demain reste un mystère.

♣ Secret, sombre, discret, tourmenté
Le commerce c’est bien, gratifiant. Le commerce vous permet de montre très facilement dans la société, de vous constituer une réputation, un titre, une place. Cependant, il y a commerce et commerce, ni tous les commerces doivent se savoir. Et c’est le cas pour Alexander. Il y a bien d’un côté un commerce honnête, mais de l’autre, il y en a un qui ferait mieux de rester dans l’ombre. C’est ainsi qu’il a appris à rester discret sur ses affaires. Mieux vaut ne pas ébruiter qu’un Lord trempe dans un commerce peu propre à sa condition, même si ce dernier lui rapporte bien plus que le reste. La discrétion est une chose bien précieuse, ainsi cette dernière s’immisce dans tous les domaines, y compris celui de la famille. La discrétion est éventuellement nécessaire, mais elle entraine le secret et diable qu’il peut être gênant de dissimuler certaines affaires, ne rien révéler. On pourrait le trouver extraverti comme homme et pourtant, son âme est bien sombre. Tourmenté, Alexander a beaucoup à cacher et rien à dire. N’essayez pas de lui demander quoique se soit de son passé ou de son commerce, à moins de vouloir essuyer l’une des ses terribles colères. A force de tout garder pour lui, Alexander a fini par se faire une carapace en acier trempé. Néanmoins, il reste un homme doux et attentif, du moment que vous ne franchissez pas la limite.

♣ Têtu, impulsif, révolté
Quand il a une idée derrière la tête, il ne l’a pas ailleurs. Rien ne le résiste, pas même un non. D’ailleurs, il ne connait pas le non, personne ne peut lui dire non, et si on lui dit non plus d’une fois, alors Alexander sort de ses gonds. Une vraie tête de mule, nul femme ne peut se refuser à lui, et nul homme ne peut lui dire non pour un contrat ou toute autre proposition de sa part. Sanguin, il pourrait facilement s’énerver, non pas qu’il irait jusqu’à frapper volontairement, mais Monsieur n’aime pas qu’on lui refuse quoique se soit. S’il est riche, ce n’est pour entendre un non dans la bouche de quiconque. Au contraire, il serait révolté et ne comprendrait guère qu’on ne veuille pas de lui ou de toute autre proposition qu’il pourrait faire. Même si parfois, il lui arrive de faire certains actes qu’il regretterait par la suite. Etre impulsif peut parfois vous conduire dans de drôles de situation, et pour cause il en sait quelque chose, mais il ne peut s’empêcher d’agir selon son instinct, de réagir au quart de tour. Une chose suffit pour lancer la machine, pour énerver, agacer la bête qui se trouve en lui. Une bête qu’il vaudrait mieux ne pas découvrir. Alexander est tête, on vous le concèdera, il est également impulsif, mais surtout il est révolté. Révolté par le comportement de certaines gens en ce bas monde. Certains le regardent de travers, car il lui arrive d’inviter n’importe qui à sa table, ou dans son lit. Mais que diable ces gens ne sont-ils point bêtes de le dévisager ainsi. Un être humain reste un être humain, qu’il soit riche, pauvre ou tout autre. Même si l’on note ici une pointe d’hypocrisie de la part de ce Lord, il n’en reste pas moins qu’il agit ainsi, selon sa guise. Et entre nous, Alexander préférait rester riche à tout jamais que de devenir pauvre et ne plus s’offrir les luxes que la vie lui donne.

♣ Lunatique, silencieux, méfiant, observateur
Quand on a un passé comme Alexander, on se méfie de tout, même de son majordome. N’importe qui pourrait vous poignarder dans le dos, alors que vous faites preuve d’un manque d’inattention. Observer. Toujours observer. Tout et n’importe qui, connaitre tout de tout le monde, et le retourner contre eux. Analyser et savoir comment réagir. A force de le faire, il lui arrive d’avoir des absences, perdu dans ses pensées les plus profondes, les plus lointaines. Alexander déteste qu’on le devance, et cela dans n’importe quel domaine. Ainsi, il prendra toutes les précautions nécessaires pour rester toujours le premier. Etre le premier est une chose primordiale pour Monsieur. Mais voilà ce n’est pas toujours évident, surtout si vous êtes lunatique. D’un instant à l’autre, il peut décider d’être gentil avec vous, tout comme il peut décider complètement le contraire. Personne ne peut savoir comment il réagira, s’il est dans un bon ou mauvais jour. Cependant, il demeure un homme audacieux et rusé, il pourrait vous surprendre, juste pour vous mettre à terre, vous faire croire une chose qui n’est point. Si un jour cela vous arrive, faites attention, vous pourriez bien tomber dans un piège, mais ne vous inquiétez pas, ce ne sera jamais quelque chose de grande ampleur, juste une petite taquinerie par ci par là. Enfin quoiqu’il en soit, Alexander demeure un homme des plus intriguant sous toutes les coutures, et son silence, quelque fois pesant dans certaines situations, peut très facilement rendre quelqu’un mal à l’aise.

5 anecdotes minimum - choses à savoir sur votre personnage
On attend de lire dans ces anecdotes des éléments du passé de votre personnage, son histoire, ses relations.
(8 lignes minimum par anecdote)

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« Elle est partie où Maman ? Papa pourquoi pleures-tu ainsi ? Je peux voir maman ? »


Hélas, sa mère venait de succomber à la fièvre, laissant derrière elle son époux et ses deux enfants, Alexander et Dorian, chacun âgés de 4 et 3 ans. Alexander était bien trop jeune pour comprendre, ce qui venait de se passer, mais cette scène resterait graver à jamais en lui. C’était un soir d’hiver, sa mère avait attrapé de la fièvre, suivis de maux de ventre. Très vite, elle avait craché du sang, Dieu seul sait comment elle avait pu attraper une telle maladie. Alors que des domestiques recouvraient sa mère d’un drap blanc, le petit Alexander questionnait son père. Ce dernier eut du mal à lui sourire, répondre à un enfant aussi innocent que lui, lui briser les entrailles. Son père, Lord Rosenbach, le prit sur ses genoux, lui et son frère, et leur dit :
« Maman est parti faire un long voyage, maintenant elle repose avec les anges. »
« Elle n’a donc plus mal, plus jamais elle ne pleura ? »
« Oui, mon fils, désormais votre Maman n’aura plus jamais mal, et plus jamais elle ne pleura »
Ainsi commençait le début d’une nouvelle vie, le début d’un changement crucial pour le petit Alexander. Il allait devoir apprendre à vivre sans l’amour d’une mère. Mais, une chose qui le bouleversa bien plus que la perte de sa mère fut la réaction de son père. Ce dernier s’enfermait désormais dans son cabinet, et n’en ressortait que pour aller dans sa chambre. Rare devenaient les visites de ses clients. Rapidement, l’affaire familiale partit peu à peu en fumée. Alexander ne comprenait pas pourquoi tant de larmes, alors qu’il savait Maman tranquille, calme et heureuse au milieu des anges. Jour après jour, son père devenait un autre homme, un fantôme de la maison Rosenbach. Alexander du alors apprendre seul les règles de l’art de vivre, mais surtout, il se fit une promesse, rendre la renommée et la fortune à cette maison mais également la joie de vivre. Il avait en tout et pour tout 8 ans, quand il se fit cette promesse. Promesse qu’il a gardé par écrit, tout contre lui jusqu’à ce jour.


♣
« Alexander, tu ne crois pas que tu devrais cesser de boire ainsi ? »


Raphaël, son frère bien aimé, un frère sur qui il avait toujours veillé. Cet homme rendait fier Alexander, au oins, il n’était pas comme lui, plongé jusqu’au cou dans de sombres histoires. Raphaël avait hérité de toutes les qualités de leur défunte mère. Cependant, il restait un homme insignifiant aux yeux du monde, en aucun cas, il désirait reprendre l’affaire familiale, le commerce ne l’intéressait pas, et être soldat encore moins. Non, il voulait rentrer dans les ordres et faire parti de Bath Abbey. Etre proche de Dieu et se dévouer à prêcher la bonne parole au monde. Ce n’était que de bonnes intentions, intentions qu’Alexander respectait. Les deux frères avaient toujours été solidaires, autant dans les bons que les mauvais moments. Une solidarité telle que certains se demandaient s’ils n’étaient pas jumeaux. Ainsi Raphaël entra dans les ordres, mais il continuait à rendre visite à son frère autant qu’il le pouvait le résonnant parfois, à cause de ses habitudes douteuses.
Ce jour là, Alexander était assis dans le salon de la demeure Rosenbach, un verre à la main, il buvait, ruminant la mauvaise journée qu’il venait de vivre. Son frère le regardait avec un regard plein de tristesse. Alexander avait représenté tant pour lui, que le voir ainsi le ruiner, mais il en était ainsi. Il lui demanda ce qui s’tait passé. Alors, nonchalant, Alexander lui narra le tragique événement. Alexander rappela la promesse qu’il s’était fait, mais cette dernière semblait bien lointaine. Il venait de perdre une partie de la fortune qu’il avait investie en mer. Cet échec était comme une plaie béante en lui, lui rappelant qu’il n’était rien d’autre que le rejeton de son père. S’il existait une chose sur terre qui le répugnait, c’était bien cela : la réalité lui rappelant qu’il ne valait pas mieux que son père. A chaque fois, qu’elle lui donnait une gifle, Alexander sombrait de sombres pensées, ne s’empêchant de ruminer ses échecs. Raphaël se leva et décida finalement de prendre le verre de ses mains, afin de le poser bien plus loin.
« Allez, ça suffit, tu arrêtes de boire ainsi. Tu n’es pas notre père, et pourquoi devrais tu blâmer à ce point ? Tu commences à peine dans cet univers, tu rencontreras d’autres échecs Alexander. Je peux te l’assurer, ainsi est la vie. Alors lèves toi et va te coucher. Je vais demander à ce que l’on te porte du lait chaud. »
Alexander aurait voulu répondre, broncher contre les paroles de son jeune frère, mais ce dernier l’en empêcha. Une chance qu’il avait son frère, ce frère si cher à son cœur, il n’était plus que sa seule famille désormais.


♣
« Lord Rosenbach vous ne pensez pas qu’il serait tant de réfléchir à prendre épouse ? »


A ces mots, Alexander ne put s’empêcher de laisser échapper un rire du plus profond de ses entrailles. Il avait 24 ans et on ne cessait de lui parler de prendre épouse, afin de fonder une famille. La belle affaire, il ne ferait jamais les erreurs de son père. Ce dernier s’était trop tôt enchainé par le mariage, et ce pauvre fou avait fini par succomber au chagrin. Alexander aspirait à devenir le parfait contraire de son père. Ainsi, il profitait de la vie, des plaisirs que cette dernière lui offrait, et plus particulièrement des charmes féminins. Des conquêtes, il en avait déjà bien plus que ses pauvres doigts pouvaient comptabiliser. Bath le connaissait comme un coureur de jupon, mais il en avait cure de ces remarques, il ne cessait d’être celui qu’il avait décidé d’être.
« Pourquoi devrais-je choisir une femme ? J’ai toute la vie devant moi, alors dites à tout Bath que je prendrais épouse quand je le souhaiterais. Mais pour l’heure, je préfère vivre et profiter de tous ces plaisirs… »
« Mais, Lord… »
« Il n’y a pas de mais, c’est ainsi ! Je ne puis m’enchainer dans une situation qui ne me plairait guère ! »
Sur ces mots, Alexander tourna le dos à son interlocuteur et partit pour une promenade. Il trouvait que l’on s’occuper trop de sa vie à son gout. Diable, ne pouvait-on- pas le laisser tranquille, libre et respirer, sans qu’on vienne l’embêter pour un oui ou un non. Alexander partit à cheval se défouler dans les alentours de Bath. Dans ces moments là, la solitude était son alliée. Tout Bath ne faisait que de parler de ses déboires, de son envie pour les femmes. Etait ce là un péché que d’aimer les femmes ?

♣
« Lord… euh pardonnez moi, mais cela vient d’arriver… »

Le domestique lui remit une petite enveloppe cachetée en main propre et s’éloigna. De qui pouvait-elle provenir ? Aucune idée. Alexander prit l’enveloppe, la décacheta et en sortit la lettre. L’écriture lui demeurait cependant inconnue, jamais auparavant il ne l’avait vu. Qu’est-ce pouvait-il être ? Avant même d’en lire le contenu, Alexander regarda la signature de l’expéditeur, il en devint blême, lorsqu’il le découvrit. La lettre provenait directement de la Bath Abbey. Immédiatement, il pensa à son frère. Alexander lut rapidement la lettre.


Lord Alexander Rosenbach,

Les mots me manquent et j’ai peine à vous le dire, mais je me dois de vous en informer. Votre frère, Raphaël Rosenbach est mort ce matin même, succombant à ses blessures. Il a été attaqué par des brigands pas plus tard qu’hier soir, alors qu’il rentrait. Un de nos hommes l'a retrouvé devant l’Abbey peut avant son dernier souffle.

L’évêque de la Bath Abbey .

En un instant, la fureur le submergea. Son frère, le seul membre de sa famille venait de mourir, et une fois encore il n’avait pas pu empêcher un tel évènement. Tous les domestiques présents dans la salle la quittèrent rapidement, laissant Alexander seule avec sa fureur. De nombreux objets furent cassés, verres, vases et autres objets. Ce jour-là, il avait tout perdu, il avait perdu l’être le plus cher qui lui restait, son frère. Toujours sous le joug de la colère, Alexander partit pour la Bath Abbey. Là bas, il demanda à voir le corps de son frère. Celui-ci était couvert de blessures. Des larmes ruisselèrent le long de son visage, c’était fini, le duo qu’ils avaient toujours formé n’existait plus. Entre deux sanglots, Alexander prononça ses derniers mots à son frère.
« Je jure de retrouver ton assassin… »

♣ Quelques semaines, ou mois s’étaient écoulés depuis la perte de son frère. Alexander avait changé. Trainant dans les bas quartiers, ces quartiers où vous trouviez de tout, femmes, alcool, drogues, Alexander en était devenu un habitué en quelques temps. Assis à une table, un verre à la main, il écoutait autour de lui tous les ragots de la ville de Bath. A cette chère ville qui lui avait tout pris, mère, père et frère, il ne restait plus que lui de cette si grande famille. Alors qu’il observait tout autour de lui, un homme, quelque peu trapu, l’aborda.
« Hey toi, t’aimerais te faire de l’argent facilement ? »
Curieux personnage que voilà. Alexander, dubitatif, l’observa, analysa son interlocuteur. Se faire de l’argent, c’était bien la quelque chose dont il avait besoin. Surtout en ce moment, où l’affaire familiale rapportait bien peu. Cependant, il lui fit signe de continuer à parler.
« Je cherche quelqu’un qui pourrait m’aider à acheter et vendre certaines substances, si tu vois ce que je veux dire. Bien évidemment, personne ne serait que c’est toi, mais avec ton charisme tu ne devrais même être remarqué. »
Cette idée fit sourire Alexander, tandis qu’il vidait son verre. Il prit tout de même le temps d’y réfléchir. D’un côté, il avait l’affaire familiale, mais cette dernière peinait à avancer, et Dieu seul sait ce qui pourrait lui arriver. Alors que ce marché, aussi noir et sombre qu’il soit, lui permettrait de garder les pieds sur terre, sans aucune difficulté. Par ailleurs, l’image de son frère lui revint en mémoire. L’homme responsable, ou même les hommes responsables de la mort de son frère devait se trouver parmi ces hommes. Oui accepter ce marché lui permettrait de mieux se faufiler et de savoir quelle était l’ordure qui avait osé s’attaquer à un prêtre. Avec un regard qui en disait long et un sourire sournois aux lèvres, Alexander accepta le marché. Ainsi, il se ferait de l’argent facilement, mais également, il aurait tout le loisir de découvrir l’identité du meurtrier. Un marché à double tranchant.

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