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21 ans Lord Torturé, doux feat Ben Barnes

Histoire

William est ce qu'on pourrait appeler un fils parfait. Intelligent, raffiné, et respectant à la lettre toutes les règles de la bienséance, il fait honneur à sa famille. Il aurait pu avoir une vie parfaite si il n'avait pas été malade. Il souffre d'une maladie incurable qui lui donne d'horribles migraines et l'oblige à s'enfermer dans sa chambre, dans le noir à l'abri du bruit. Il ne supporte qu'a petite dose le brouhaha de la foule et s'isole régulièrement pour reposer sa tête. Ce bourdonnement incessant le force à rester concentrer sur les paroles de la personne avec qui il discute, même si elle lui raconte des banalités où des histoires abracadabrante comme le fait sa soeur par exemple.
Sa soeur, sa chère Lydia, la petite peste au coeur tendre. Wiliam ne peut rien lui refuser. Entre les mains de la jeune fille il n'est qu'une poupée, que sa marionnette. Il s'en veux de ne pas être un frère plus strict, mais avec l'âge Lydia est devenu complètement incontrôlable. Un peu de plomb dans la cervelle ne lui ferait pas de mal. Heureusement qu'il est pas au courant de toutes les histoires et aventures que vie sa soeur, sinon Willy mourait sur le champs d'une crise cardiaque. Au moins son sort serait régler.
Ce n'est pas toujours évident avec les femmes, il est pas assez comme son ami Blythe, il est trop mental et pas assez séducteur. Sans compter que sa maladie fait fuir les plus farouches des jeunes filles. Encore que à Meryton, personne ne lui en tienne vraiment rigueur. Wiliam n'est pas vraiment connu des beaux gens de Meryton, mais son ami Blyhte lui a promis que cela changerais dès qu'il reviendrais par ici. C'est chose faite, et William ne sait pas vraiment à quoi s'attendre de la part de cet ami fidèle mais au caractère bien plus extravertis que le siens..

Sa maladie

Le port de tête altier, la démarche aussi assurée que possible, je me balade dans les rue quasi-vides du village. La nuit commence à tomber, cet endroit va pouvoir révélé sa vrai identité. Après ces beaux habits de la journée: pavés impeccable, commercent chaleureux, étales joliment dresser... les portes vont ce fermer. Mais d'autres vont s'ouvrir, des portes plus dangereuses, masqués des regards, des portes dérobés masquant ce que personne ne veux voir la journée mais que tous le monde recherche la nuit. C'est une porte de ce type la que Blythe et moi cherchions.
Pour jouer, des jeux d'argents. Pour ce divertir, pour m'occuper un peu l'esprit. Il fallait que je prenne des risques, que mon coeur palpite, que je perde gros pour ensuite gagner et enfin perdre. Il fallait que je me noie dans l'alcool et dans ma transpiration. Il fallait que j'oublie ce que les docteurs avaient dit. Mon ami ne parlait pas non plus, les mains enfouis dans les poches. Il me montra la porte presque fondu dans la bâtisse. Après avoir frappé a six reprises on nous ouvrit. La soirée pouvait commencer. J'allais pouvoir oublier ce que m'avait dit les médecins. Que mon mal ne guériraient probablement pas, que j'allais continuer à souffrir pendant les dizaines d'années à venir. Sans que rien ne me soulage jamais. Sans aucun espoir de guérison. Il fallait que je me noie dans quelque chose, que je suffoque, que je me plonge dans quelque chose.
Allons y dis-je à Blythe. La partie de poker commença. On misa gros, on perdit beaucoup. Nous jouâmes toutes la nuit, jusqu'au moment où, à l'aube, je ne puis plus supporter le vacarme. C'était juste trop pour moi. Cette nuit, hors du temps, a des kilomètres de ma vie, tellement loin de ma routine il fallait qu'elle s'arrête. Je crois que j'aurais pu mourir cette nuit. Tous ces excès ce répercutaient maintenant contre mon crâne. Il fallait le silence. Il me fallait Rupert, mon majordome. Lui seul réussissait à m'apaiser. Oui Blythe devait me reconduire chez moi. Et moi je devais oublier cette soirée, sans oublier de ne jamais recommencer. Les conséquences sur ma santé sont bien trop proche de la limite du supportable. Un peu plus et j'aurais été capable de me jeter de ma fenêtre. Pour de bon.

Liens recherchés

__Un nouvel ami, un compère pour l'entrainer de force dans les soirées de Meryton. Blythe a parfois du mal à le convaincre quand il est seul! (Homme)

__Une personne hait William, cet homme né riche, qui va hériter dans avoir jamais travailler de sa vie. Il ignore que à cause de sa maladie, William est marginalisé. (Homme où Femme)

__Des membres de la famille proche où éloignée pour des liens originaux et pour vivre d'incroyables aventures.

__Des lien originaux et inattendus.

William Shatterney a écrit:

Telle! Une amie de lecture n°2!
Au début tu pourrais me gonfler à parler que de ta vie mondaine et de tes aventures avec ta BFF puis tu pourais me montrer que t'as un cerveau sous cette cascade de cheveux!

Georgiana Cleverley a écrit:

William Shatterney a écrit:

Telle! Une amie de lecture n°2!
Au début tu pourrais me gonfler à parler que de ta vie mondaine et de tes aventures avec ta BFF puis tu pourais me montrer que t'as un cerveau sous cette cascade de cheveux!

Aussi mais je pensais qu'elle pourrait avoir au début un petit a priori sur lui, d'après ce que Lydia lui en aurait dit. Mais elle comprendrait rapidement que loin d'être ennuyeux et agonisant, il est tout à fait charmant et captivant
Et pis elle pourrait effectivement lui rapporter toutes les frasques et conquêtes de Lydia (Georgiana a du mal à garder un secret xD) et créer ainsi une grosse embrouille entre le frère et la soeur xD