Comme un rai de lumière dans la pénombre. William avait vu passer une chevelure d'un merveilleux blond. C'était un visage familier qui traversait le parc. Sans doute à la recherche d'un peu d'air pur, un peut à l'écart de la ville, avant que la foule envahisse la verdure. Il était venu faire sa promenade quotidienne. Il tenait à renforcer son corps, avec tous ce qu'il avait subit ces derniers temps, il prenait sa vie main. D'avantage d'exercice, il essayait d'avantage de traitements pour lutter contre ces maux de têtes... Sa vie tendait à devenir meilleur depuis son arrivée à Bath. Il avait renforcer son corps, sa volonté, ses convictions, il ne manquait plus qu'à trouver Crystal et son coeur serait au même niveau que le reste.

Voila, il avait perdu la jeune femme. Elle marchait à vie allure, où alors c'était lui qui s'était perdu dans ses pensées trop longtemps. Il ce remis à sa recherche. Il la connaissait, il était sur. Il avait très bonne mémoire. Il n'était pas du genre à oublier quelqu'un. Ah la voila, elle n'était pas partie si loin finalement. Tant mieux il ne se sentait pas de la poursuive à travers toute cette verdure, il n'avait pas perdu de sa flegme, mais son endurance n'était pas au top.

Elle était quelques mètres devant lui. Respirant à plein poumon l'air frais. Ses longs cheveux étaient lâchés et volaient au vent. Elle était très belle, de dos, mais très belle quand même. Aucun homme ne pouvaient décemment l'oublier une fois qu'ils l'avaient vu. C'était Mary. Il s'en souvenait très bien. De leur rencontre, de leur aventure, de leur nuit passée ensemble.
Il s'approcha délicatement d'elle et la contourna de façon à arriver de biais pour ne pas lui faire peur.

"Bonjour Marie, lui dit-il avec un grand souvenir. Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, mais je suis William Shatterney, nous nous sommes rencontrés lors d'un bal il y a bientôt une année". Après la petite révérence, il attendit que Mary remette son histoire sur son visage. Il pensa qu'il devait lui fournir quelques informations de plus.

"J'étais à Meryton moi aussi, je vous ais croiser à l'église, mais je n'ai jamais eu la chance de venir me présenter. Je n'étais pas la depuis longtemps quand nous avons du fuir. Je suis navré de venir me rappeler à votre bon souvenir que maintenant."

Ah elle avait fait le rapprochement semblait-il, elle semblait moins méfiante. Vu les aventures qu'ils avaient vécu, cela aurait étonner William que la jeune femme ait fait l'impasse sur ses souvenirs. Elle n'avait très certainement pas du les partager, mais elle devait s'en souvenir pour sur. Ils s'étaient bien amuser ensemble, même énergie, même humour, mais solitude dans leurs familles. Ils avaient les même goûts en matière de lecture, de vin et d'humour. Ils avaient tissés très vite de forts liens de sympathie réciproque. La preuve il se souvenait encore parfaitement de la jeune femme, même si il n'avait pas eu le courage d'aller à sa rencontre jusqu'à maintenant.

Voila qui était chose faite.

Depuis son arrivée à Bath, Mary avait pris l'habitude de venir faire une promenade au Royal Victoria Park tous les jours, histoire de respirer un peu d'air frais, et de retrouver cette atmosphère peuplée de verdure qui lui plaisait tant à Meryton. Ah, Meryton ! elle ne savait plus trop que penser de Meryton. Elle avait beaucoup perdu durant le déménagement mais elle avait aussi gagné beaucoup? Elle avait porté le deuil longtemps après la mort de son père, survenue 7 mois auparavant, mais elle remettait à présent des robes de couleurs claires. Aujourd'hui elle en portait une bleue en parfait accord avec son regard clair et qui mettait sa longue silhouette en valeur. En fait, elle commençait à se dire que la mort de son père avait quelque chose de logique et naturel, qu'elle l'avait suffisamment pleurer. Même si elle regrettait la présence de son père, qui donnait quasiment tout son charme au cercle familial, elle pouvait vivre sans avoir le coeur lourd et ne s'en privait pas. Elle était devenue une femme plus sociale, qui recevait beaucoup ; elle connaissait beaucoup plus de monde, mais paradoxalement avait peu d'amis proches.

Elle marchait en songeant à tout cela, sa robe flottant autour d'elle comme un morceau de nuage, ses cheveux élégamment lâchés battaient son dos et ses épaules, dénudés par un profond décolleté. Elle ne savait pas vraiment où elle allait, perdue dans ses pensées, marchant d'un bon pas. Elle s'arrêta, les joues légèrement rougies par l'effort pour prendre une grande inspiration. Elle sentit l'air pénétrer dans son corps et eut un sourire ravi. Ce n'était pas pour rien qu'on disait qu'on était en "terre saine". Cet air ressemblait presque à celui de Meryton...

Elle rêvassait donc quand un jeune homme, vraiment très très beau (fan de Ben Barnes PRESENTE xDDD), surgit devant elle comme de ses souvenirs. Elle mit du temps à redescendre sur terre et la surprise était marquée sur ses traits mais elle avait reconnu William avant qu'il ne dise son nom. Elle fut ravie de le revoir et fit une révérence légère et joyeuse. Le temps qu'il lui laissa pour se reprendre lui permit d'avoir l'air à peu près intelligent quand elle dit avec grâce :

"Oh William, je n'ai pas besoin de vous voir pour me souvenir de vous ! Mais j'en suis plus que ravie, il me semble que c'était hier lorsque nous courrions ensemble. J'ai beaucoup regretté de n'avoir pas le moyen de vous revoir ; j'ignorais que vous étiez à Meryton."

Le lendemain de leur aventure quasi épique, Mary s'était sentie honteuse, mais elle y rependait aujourd'hui avec humour et nostalgie. C'était le genre d'épisode dont on est censé se repentir, mais qui au fond reste gravé dans notre mémoire comme un des plus beaux de notre, vie. William Shatterney correspondait tout à fait au genre de personne que Mary adorait côtoyer. Il était brillant, élégant, avait une conversation agréable et ils partageaient tous deux les mêmes idées et les mêmes goûts. Elle s'était souvent souvenue de William et avait toujours regretté de n'avoir pu le connaître mieux. Elle en avait à présent l'occasion et ne s'en priverait pas.

"Comment se passe votre vie, ici à Bath ?"

"Quelle agréable rencontre, nos escapades me manquent. Depuis notre départ de Meyton et notre arrivée ici tous ses bons souvenirs ont été d'un grand réconfort".

Elle l'avait reconnu, il en était flatté, en générales les demoiselles ne se donnaient pas cette peine, elles envoûtaient le coeur des hommes et les laissaient souffrir en silence. Mais même s' il n'y avait qu'une amitié naissante entre eux, William trouvait bien plaisant de ne pas avoir à rappeler son bon souvenir à Mary.

"Je n'étais pas à Meryton depuis longtemps quand nous avons été obligé de fuir. Il se trouve qu'il y avait de quoi m'occuper au manoir des Tiddler où je résidais, et que je suis bien plus discret en société que ma chère soeur Lydia. Quel frère aurais-je été si je lui avait voler la vedette?!"

Si était un incorrigible bavard quand il était en situation de confiance. Sa tête ne faisait que de crier 'silennnnce' à sa bouche, mais celle ci en faisait qu'à sa tête. En reprenant sa respiration il eu la bonne idée que garder ses lèvres closes et de regarder Mary dans les yeux pour lui adresser un petit sourire. Il avait remarqua l'air triste de la jeune femme. Sa petite blague détendrait peut être son amie.

Il se sentait un peu potache et inutile ainsi debout. Il n'arrivait pas à penser correctement. Avec le vent qui balayait l'herbe sous leurs pieds, il se dit qu'en marchant ils se réchaufferaient un peu plus. "Pourquoi ne pas marcher un moment ensemble pendant que nous nous racontons de quoi notre vie a été faite depuis notre rencontre" lui dit-il en lui tendant son bras galamment. Elle semblait être d'humeur à faire une ballade vu qu'elle n'hésita qu'une fraction de seconde à saisir son bras et à attraper de son autre main les jupons de sa robe. Lui n'avait pas se soucis, ni tous les hommes d'ailleurs, pour les sorties dans la nature les femmes devraient avoir le droit de porter le pantalon aussi.

"Très bien, me raconteriez-vous comment vous êtes passé de cette petite auberge où nous logions à une maison à Meryton? Vous vivez dans se village depuis toujours?"

Pour la jeune fille effacée qu'elle avait été, cela fut une grande émotion que de s'entendre dire que son souvenir était d'un grand réconfort. Mary n'avait jamais eu la prétention de marquer les esprits outre mesure, mais il était vrai que leurs escapades avaient quelque chose de marquant. En y repensant, cet épisode de leur vie était pour elle aussi un objet de nostalgie et elle avait toujours le sourire aux lèvres quand elle se souvenait de ce séjour à Londres. Aussi sourit-elle à nouveau à William avec chaleur et pressa dans un mouvement spontané l'avant bras du jeune homme. Geste qu'elle regretta presque immédiatement, mais elle avait été véritablement touchée et flattée par les paroles de William.

Ensuite, quand il enchaîna, elle eut une envie irrépressible de se taper la tête contre un arbre, il y avait justement là un beau chêne centenaire qui aurait tout à fait fait l'affaire. Elle dut se contenir. Bon sang ! Il était le frère de l'inoubliable Lydia, il était donc certain qu'il habitât à Meryton comme elle. Elle rit de sa bêtise et de la plaisanterie de William. Lydia occupait en effet une place assez importante dans un petit cercle d'amis, ou dans un grand d'ailleurs. Disons que si vous aviez la chance de ne pas entendre sa voix pendant plus de 20 secondes, vous seriez plutôt chanceux. Il était sûr que le frère et la soeur formaient un étrange couple, plutôt contrasté ; entre William, plutôt effacé avec une certaine distinction et Lydia, plutôt très expansive avec un tout petit, très léger, manque de retenue. Elle rit donc de bon coeur, surprise et amusée.

La proposition de William tomba à pic car Mary eut un léger frisson. Elle n'hésita donc guère avant de glisser son bras sous celui de son ami. Elle attrapa avec élégance les épaisseurs de mousseline, de lin et de coton, pour ne pas être gênée dans sa marche, souci typiquement féminin. Elle se reposa contre William sans trop culpabiliser car il était bien plus grand qu'elle.

Il était étrange que William et Mary s'entendent si bien, alors que finalement ils ne possédaient que de peu d'informations concrètes l'un sur l'autre. Il était sans doute temps pour eux d'enfin se connaître plus, et une amitié supplémentaire ne serait pas de trop pour Mary qui se sentait parfaitement en confiance à côté du jeune homme, sentiment qu'elle n'avait pas éprouvé depuis longtemps.

"Depuis toujours, oui. Mon père y habitait aussi depuis toujours, et son père avant lui. J'étais à Londres pour rendre visite à une cousine et connaître un peu mieux la société londonienne. Je m'apprêtais à rentrer avant de vous rencontrer. A vrai dire, si vous n'aviez pas été là, je n'aurais pas eu un aussi bon souvenir de mon séjour à Londres qui avait été fichtrement ennuyeux avant que nous nous voyions."

Et c'était vrai. Les rombières londoniennes s'étaient succédées, les dames et messieurs à l'air pincé et supérieur, lassant même la patiente Mary. Même sa cousine avait perdu de sa simplicité au contact de Londres. Et cette dernière avait trouvé Mary bien trop douce et effacée pour être convenable. Elle regrettait énormément d'avoir quitter Meryton, même pour un laps de temps assez court, avant que sa route ne croise celle de William.

"J'aimais et j'aime toujours énormément Meryton... Je ne sais si vous avez eu le temps de vous attachez à notre village, mais même si Bath est fort agréable, Meryton me manque énormément, le souvenir de mon défunt père y est inexorablement associé dans mon esprit aussi."

Elle ne souhaitait pas s'appesantir sur le sujet, aussi posa-t-elle son autre main sur le bras de William, lui sourit et l'enjoint de parler avec entrain :

"Mais, et vous ? Vous plaisiez-vous à Meryton ? Avez-vous eu le temps d'y forger quelques relations ? Peut-être en avons nous en commun, outre la société de cette chère Lydia..."

Il était bien plus grand qu'elle. Cela le fit sourire. Il était grand et sec, comme une brindille, et elle élancée et très bien mise en valeur dans la jolie robe. Il formaient ainsi un couple 'd"amis' assez hétéroclite. Mais la bonne ambiance régnait. Et il n'aurait brisé sa pour rien au monde. Il était contant de l'avoir retrouver. Mary était comme il aimait de la rappeler. Drôle, avec un super rire, toujours enthousiaste. Pourtant sa vie n'avait pas du être toujours facile même si elle devait mener une belle vie à Meryton, les gens de leur rang doivent souffrir en silence et faire bonne figure. A croire qu'ils étaient privés d'émotions. Ce n'était pas le cas, ils renfermaient juste leurs sentiments à l'intérieur. C'était une partie de leur éducations. Lady et Mr avaient une vie de rêve et devaient rendre envieux les autres. Et c'était sans parler des mariages forcés, des relations interdites, des pactes, des arrangements entre familles et des amitiés interdites. De quoi rendre fou le mondre paysan. C'était un grand secret dont personne ne parlais. Mais il arrivait aux familles nobles d'êtres malheureuses. Il arrivait surtout aux jeunes adultes d'êtres malheureux.

William n'était pas stupide, et il commençait à songer que Mary n'était certainement pas la pour profiter que du grand air. Enfin pas que. Elle devait aussi être la pour pouvoir faire librement face à ses pensées. A Meryton lui aussi allait se promener seul dans les plaines, le visage fouetter par le vent, le corps glacer par les températures. Mais c'était dans ses moments la qu'il se sentait le plus vivant. Ah elle répondait à sa question. Donc elle avait toujours vécu à Meryton... quelle hasard qu'ils aient vécu dans la même ville. Le destin ne cessait de les rassembler.

"Bon, si quelqu'un, et moi qui plus est, a réussi à te sortir de l'ennui qui semblait peser sur toi, c'est que du positif. Votre voyage à Londres aurait été désastreux sinon. Et il est inconcevable de laisser quelqu'un haïr cette merveilleuse ville. Elle me manque parfois.


C'était la première fois qu'il avouait que la superficielle et tant haïe ville de Londres lui manquait. Pour être honnête, la ville lui manquait, mais pas ses habitants.
Ici à Bath il se sentait libre de recommencer encore une vie. Il avait perdu sa Crystal, mais il ne tarissait pas d'efforts pour la retrouvée.

"C'est avec regret que j'ai quitter Meryton oui, l'air pur de la petite ville me manque. Je commençais à m'y sentir chez moi. Et tout le monde était d'une grande amabilité. Tout y était différent de Londres, ce qui me convenait parfaitement. Et qui plus est j'ai appris à mieux connaitre ma famille."

Eux qui l'avaient accueillis si gentiment. Qui s'étaitent occuper de lui et qui avaient garder le secret de la maladie. Sarah, Mr et Mme Tiddlers, Georgiana, Crystal, Pearl et Elizabeth, tous et toutes représentaient quelque chose pour lui.

"Vous rappelez vous de toute la soirée Lady Mary, je dois vous avouer que l'alcool a brouillé quelques parties de cette soirée..." lui murmura-t-il comme si c'était un très très gros secret .

Spoiler:

Mary se pencha vers son ami pour entendre ce qu'il lui disait, comme s'il s'agissait d'un secret. Mais il n'y avait ce jour-là que le vent pour les entendre, et la jeune Lady s'en réjouit quand elle entendit quel sujet abordait William. Elle se redressa donc, un sourire légèrement gêné aux lèvres, mais irrépressible. Elle non plus n'avait pas grande idée de ce qui c'était passé cette nuit là, parce qu'elle avait également un peu trop abusé de l'alcool, qu'elle ne tenait pas du tout. Les rares fois auparavant où elle avait bu était celle ou cela était ordonné par le médecin, sinon elle n'y avait jamais pris plaisir. Elle rit cependant et répondit :

"Vous êtes cruel de me demander ça, William, vous me rappelez que j'avais aussi eu la main un peu trop leste et avide sur les coupes de ce vin de champagne. Mais enfin, peut-être qu'à nous deux nous pourrons refaire la soirée dans son intégralité !"

En effet, elle se souvenait d'une grande partie de la soirée, mais il y avait certains trous dans sa mémoire, et elle craignait de se les rappeler. Au moins, elle était presque sûre que seul William avait été témoin de son ébriété dans la mesure où elle se rappelait parfaitement d'avoir été boire sur la terrasse et d'être partie faire un tour dans le parc juste après. C'était là où elle avait rencontré Mr. Shatterney et il lui semblait qu'ils n'avaient plus croisé personne à partir de cet instant-là.

"Reprenons dés le début, voulez vous ? Je me souviens que nous étions chez Mr and Mrs Shavefire, pour un bal. Je me souviens aussi que je m'y ennuyais beaucoup et qu'un domestique m'a présentée une coupe que je suis allée boire sur la terrasse du rez-de-chaussée. Comme j'avais trouvé le vin fort bon, il me semble être rentrée à nouveau dans la salle pour en prendre un autre verre, ce qui a largement suffit à me rendre un peu trop saoule. Ensuite, j'ai dépassé la terrasse et suis allée me promener dans le parc. Ma tête commençait déjà à tourner quand je suis tombée sur vous ; vous le rappelez vous ? Je fus à deux doigts de perdre équilibre quand vous, tout aussi aviné que moi, m'avez soutenue, bien que vous fûtes chancelant et d'un aplomb légèrement diminué. Il me semble qu'ensuite, nous avons décidé de marcher ensemble, et grisé par le vin et la joie d'une nouvelle rencontre, je suppose, nous avons décidé d'explorer un peu plus loin le parc. Je ne sais combien de temps nous avons marché en parlant trop fort et en riant beaucoup, mais nous sommes arrivés jusqu'à un muret de pierre que vous avez franchi avant de m'aider à en faire de même."

Elle marqua une pause, d'un air rêveur. Cela restait inévitablement un excellent souvenir, quoique légèrement honteux. Elle se souvenait de leurs rires mêlés, elle se souvenait aussi qu'ils étaient parvenus à faire connaissance, à parler de sujets suffisamment sérieux pour qu'ils reconnaissent avoir des correspondances dans leurs gouts et dans leur façon de voir les choses. En réalité, paradoxe des soirées alcoolisées, il lui semblait n'avoir jamais eu de discussions si passionnantes ou si libératrices auparavant. Elle s'apprêtait à reprendre, tentant de se souvenir de ce qui suivait, mais elle rougit :

"Je crois bien alors que je suis tombée de l'autre côté du muret, heureusement la terre était sèche et ma robe n'a pas trop subi de dégâts. Il me semble que je suis parvenue, avec votre aide, à me relever... Oh ! ce récit n'est véritablement pas à mon honneur ! D'autant plus que je ne parviens pas à me rappeler de ce qui a suivi ensuite, vous en rappelez vous ?"