| Sujet: Le coeur a ses raisons, que la raison...PvWilliam Mer 30 Juin - 22:02 | |
| J'étais dans le manoir des Lefroy, une famille d'apparences riches et puissante mais qui connait beaucoup de dettes. Il y a très peu de personnes qui étaient au courant, cette histoire n'était pas sortie du manoir, car il y aurait trop de questions : comment la famille la plus puissante de Meryton peut-elle connaitre une telle crise ?
La crise des Lefroy n'a pas touché mes affaires, les canapés Chesterfield se vendent comme des petits pains et je vais bientôt lancer les cigarettes Chesterfield pour remplacer peu à peu le cigare. D'ailleurs, dans le manoir j'étais l'une des personnes les plus riches et influentes; En effet Lord Cael Vaughn est détesté alors que moi j'étais respecté. J'étais dans le bureau que l'on m'avait attribué lorsque je me suis réfugié à Meryton pour ainsi fuir mon ancienne vie londonienne. Cela faisait cinq ans que j'étais ici et j'étais reconnaissant envers les Lefroy de m'avoir accueilli, puis je les aidais financièrement.
J'attendais lord William Lefroy que j'avais convoqué dans mon bureau (XD), il fallait que je discute affaire avec lui, ses affaires amoureuses. Il aime Lucy Price, fille d'un pasteur que je haïssais car elle se mêlée trop de mes affaires privé et elle pouvait à tout moment découvrir ma face caché et la dévoilé et je m'étais juré de la faire souffrir.
Et le meilleur moyen de la faire souffrir était de pousser William dans les bras de Lady Susan Fieldway qui venait d'une famille riche ce qui pouvait améliorer le statut financier de la famille Lefroy.La porte toquait et je l'ouvrais et accueillais William :
" Bonsoir Lord William ! Asseyez vous je vous prie ! Merci d'être venu "
Je m'asseyais de l'autre côté du bureau et le fixais :
" Alors ce bal ? Avez vous vu Lady Susan Fieldway ?"
La pluie et le vent tapait la fenêtre et les orages faisaient office de bruit de fond du bureau, la tempête commençait à éclater, j'aurais pu attendre la fin de la tempête, mais je ne pouvais pas il fallait que je discute avec lui et j'espérais qu'il n'ais pas fait de bêtises. |
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