C’était a la recherche d’un lieu que je me promenais, en calèche, ou a pied, je ne savais me décidé, et c’est ainsi que je choisis le chemin de la marche, celui qui m’aidais a perdre du poids, a comprendre ce qu’était le village de Meryton ainsi que son beau quartier. Il n’y avait pas grand-chose comparait a la ville de Londres, c’était vrai, mais c’était bien quand même ce qu’il y avait ici, surtout ces personnes, chacune de classes différentes et l’on vous jugeait selon celle-ci. Ce n’était qu’un résidu de foutaises que je destinais qu’au feu, je ne voulais que brûlez tout ces préjugés et qui n’était là que pour nourrir un orgueil d’une personne qui se sentait mal et qui était avide d’un pouvoir et d’un rang qu’elle ne méritait pas. Car bien sûr, chaque village ou ville a ses sombres secrets, mais je n’étais pas du genre fouineur, mais je ne voyais pas tout le monde comme un honnête gens, oh non, je savais me méfier des bougres et donneur leurs chances au méritants. Je me faisais ma propre opinion sur les gens en les côtoyant le plus possible, mais c’était dur. Le temps manquait et je ne pouvais me permettre de festoyer avec des inconnus en tout intimité mais la vie réservait parfois de belles surprises. Comme moi qui marchait, la pluie allait en bon train, ni trop rapide, ni trop méchante, elle ruisselait a peine, laissant un répits aux voyageurs et paysans qui voulant gambader le temps de quelques minutes ou ils pouvaient se sentir libre comme l’air, chanceux d’être encore là, libérés d’une légère peur mais tous savaient au fond que ce n’était pas encore fini, et que peut-être le pire restait à venir. Mais pour l’instant, cet instant de répit semblait persister, la pluie ne retombait pas dru-ment et l’on pouvait sortir de quoi acheter des vivres en plus et tenir qui sait. Prendre des informations et attendre, inlassablement la fin de cette tempête qui semblait prendre un repos bien mérité.

Moi je marchais toujours. Je cherchais des yeux ou je pouvais porter mon aide, demandant aux gens si ça allaient, mais je ne cherchais qu’une chose, être libre. Je voulais aller au Park pour y voir sa fraîcheur, pour y voir sa verdure car sous ce temps, j’en étais sûr. Je m’y rendais donc. Une fois arrivé je pouvais voir un nombre de flaques d’eau impressionnantes, mais j’essayais de les éviter tout en marchant gaiement et regardant les arbres, ceux qui étaient à refaire ou pas, ceux qui étaient détruits ou pas. Il n’y avait pas grand choses et il semblait que le Park soit presque entièrement sain & sauf, mais ce n’était pas encore la fin et il ne fallait pas s’emballer. La fin ne viendrait pas maintenant et il fallait faire attention à chaque moment, car chaque moment pouvait redevenir dangereux bien plus vite que l’on ne pouvait le penser. Mon regard se perdit parmi la verdure du parc ainsi que ces autres fleurs, pensant et repensant inlassablement a la même personne, cette personne que je ne connais que trop peu et dont les souvenirs m’étaient inexistants. Crystal Radcliffe. Je ne connaissais que son nom et le peu de choses qu’elle m’avait dit sur elle. Maintenant je devais la connaître de nouveau, tout apprendre sur elle. Mais quelque chose me sortit de mes pensées, une bien jolie jeune femme. Cela se voyait de loin, pas très riche vu ses habits mais encore plus mignonne, pour l’instant je ne voyais son visage mais je savais que ça me serait une agréable surprise. Je m’avançais vers elle, mais je n’y étais pas encore, et le temps que j’y arrive, la fameuse pluie revenait, plus forte, s’étant comme reposé pour être gonflé à bloc, à croire que cela arriverait bien plus vite que je ne l’avais prévu, mais l’on ne pouvait prévoir ces choses-là. Alors que j’avançais sans bruit vers elle, les premières gouttes atterrissant dans mes cheveux, j’arrivais à sa hauteur et je me dévêtis de ma veste, que je posais avec douceur sur ces épaules. Mes lèvres vinrent dans son cou et je chuchotais à son oreille.


Je souris et doucement la tournais a moi, ma main glissais vers la sienne et je la pris doucement, nouant mes doigts aux siens alors que j’attirais sa main a ma bouche, et lui faisant un baisemain, ne quittant pas son regard. Quel charmeur.