Crédit avatar : LLAM

Wanna Know More ? « Pandore Maxwell, jeune femme de 22 ans, tenaillée par sa condition de domestique, est née à Bath et depuis y habite. Depuis qu’elle a été renvoyée par ses maîtres, elle a intégré les rangs des Rebelles, n’étant plus qu’un pion dans une bataille contre la mort elle n’a plus rien à perdre et sacrifieras tout pour voir enfin la révolution se lever. »

Step By Step

5 traits de caractère minimum
Détaillez les cinq traits de caractère de manière précise, afin que l'on puisse cerner votre personnage.
(8 lignes minimum par trait de caractère)

Lunatique. Le trait principale qui caractérise et caractérisera toujours Pandore, c’est bien sa capacité à se rendre incernable. La jeune femme a pour grand défaut d’être lunatique, pas lunatique comme certaines personnes l’entende, non. Avec elle c’est Pire. On peut la voir joyeuse et douce, attentive à vos moindre souhait, compréhensive et serviable, puis tout d’un coup la voir impulsive à la limite de l’insolence sans raison apparente. C’est une des grandes caractéristiques de Pandore qui la rendent si particulière. Mais ce trait de sa personnalité et plus son gros défaut qu’une qualité car même si l’on arrive par Dieu sait qu’elle moyen de la cerner, on n’est jamais au bout de ses surprises. Voilà pourquoi ses Maître n’ont pas hésité une seconde avant de la mettre à la porte. Pandore est une vraie tornade quand elle se déclenche, il vaut mieux ne pas être dans les parages, sinon à vos risques et périls.


Mystérieuse. Ses sautes d’humeurs passées, on peut comprendre petit à petit que la jeune femme n’aime pas que l’on s’intéresse trop à elle. Dès que le sujet s’oriente vers son passé ou vers sa vie privée Pandore s’emporte. Elle s’énerve rapidement et difficile de reprendre la conversation sereinement sur un autre sujet. Impulsive, elle ne laissera personne toucher de près ou de loin à son passé, ses erreurs. Mais cependant, dans les moments de plénitude, elle peut laisser échapper des bribes de paroles énigmatique sans pour autant en révéler trop sur elle. La miss est très méfiante et une personne qui perd sa confiance ne puis plus espérer de près ou de loin la regagner. La personne en question devient vite un ennemi, et la jeune femme a la rancune tenace.


Obstinée. Au monde, l’on n’a jamais connue de femme aussi têtue, elle reconnait difficilement ses erreurs et déteste qu’on la remette en question. C’est un exploit si elle arrive à se remettre en question elle-même alors que quelqu’un lui balance ses quatre vérités et inenvisageable. Sans que se soit la guerre entre eux bien sûr. Quand elle a quelque chose en tête, il est très difficile voir impossible de lui faire renoncer à son idée. C’est d’ailleurs pareil pour une vengeance, lorsque l’idée de la vengeance germe dans sa tête, sa pugnacité l’emporte même au risque de grand péril. C’est pour cela qu’elle a rejoins les Rebelles, non pour cette idée d’entraide et de survit, mais plus pour cette idée de vengeance et de but commun. Indépendante, elle pourra cependant se montrer très solidaire parmi les Rebel.


Manipulatrice. Jouant de ses charmes ou lançant des piques acerbes la jeune femme peut facilement corrompre quelqu’un quand elle en a décidé ainsi. Cependant, le jeux de la manipulation n’est pas une chose aisée et elle peut parfois se retrouver coincée à son propre piège, car malheureusement, personne n’est intouchable et surtout pas une jeune femme de sa condition. Une domestique d’autant plus. Jouant de la séduction, de l’attraction charnelle, elle arrive bien trop souvent au but escomptée, et dans ses moments là, elle n’a plus pitié pour rien ni personne. Les regrets? Elle les balais d’un revers de main, cela ne sert à rien de ressasser le passé.


Menteuse. Elle peut mentir sans ciller, et être très convaincante, Mentant comme elle respire, on a du mal à démêler le vrai du faux et le mensonge de la vérité. Cependant elle ne ment pas sur n’importe quel sujet, la jeune femme répond à certaine règle. La jeune femme à tendance à mentir quand les sujets deviennent trop pressant sur sa vie privée. Et c’est aussi pour cela que cerner la jeune femme est une chose quasi-impossible.


Douce. Dans sa vraie nature, au plus profond d’elle Pandore est une personne douce, souriante et attentive. Parfois on peut retrouver chez elle des élans d’affections et d’amour, bien que cela soit rare, ils révèlent cependant la partie la plus douce de Pandore. Sensible sur certain point, elle aura tendance à être très protectrice envers les enfants. Elle ne montre que très rarement ses sentiments, mais quand cela lui arrive, elle sait être douce, maternelle et aussi sensible. A tel point que si vous avez un peu de chance, un de ces jours vous pourriez la voir pleurer. Mais l’occasion serait trop propice à des moqueries pour qu’elle ne reste abattue bien longtemps.


Aimable. Oui, Aimable, parce que malgré tout, la jeune femme a réussit à tenir avec brio son rôle de domestique avec brio. Aimable, respectant les règles de la bienséance, polie, la jeune femme sait se tenir correctement et se montrer serviable et docile même si c’est contre sa propre volonté. Souriante, ce sourire quand on la connait bien sonne faux. On a comme l’impression qu’elle porte un masque pour cacher ses propres émotions, ce qui peut être prodigieusement agaçant pour son entourage et les rares personnes qu’elle pourrit qualifier d’amis.

5 anecdotes minimum - choses à savoir sur votre personnage
On attend de lire dans ces anecdotes des éléments du passé de votre personnage, son histoire, ses relations.
(8 lignes minimum par anecdote)

C’est par une froide nuit d’hiver que Pandore naquit, mêlant douleurs, tristesse, colère et malgré tout amour. Cela peut paraitre clicher de dire que cette nuit-là fut la plus sombre de tout l’hiver, mais pour la jeune femme, ruisselante de sueur et en pleur sur le sol dallé, ce n’était pas qu’une impression. C’était forcement la nuit la plus froide et la plus violente de tout les hivers. Spécialement parce qu’elle c’était faite jetée dehors alors qu’elle allait donner la vie. Les pleurs redoublaient, les cris de souffrance s’intensifiait tandis que le travail commençait. Elle avait peur. Peur toute seule, et personne pour l’aider. Pourtant elle ne s’était pas trop éloignée des quartiers chics de Bath. Pourtant, elle n’était pas dans une ruelle sombre et vide. Les passants la regardaient avec une indifférence mêlée de dégout. Elle aurait voulut fuir ses regards abominables, mais elle n’avait plus la force de se tenir debout. Alors elle s’effondra par terre, sous la douleur des contractions. La réalité semblait la rattraper violemment. Elle allait mourir, elle allait mourir et cela en emportant avec elle la vie de son bébé. Ses yeux se fermèrent tandis que ses larmes redoublaient. Seule un miracle pourrait les sauver. Et c’est alors qu’il arriva, ce miracle qu’elle espérait depuis de longues minutes. Une jeune femme, en habits de domestique s’approcha d’elle. Et s’agenouilla à ses cotés. La jeune femme leva un visage ruisselant de larme vers son ange gardien. « Venez, il ne faut pas rester là.. » Elle l’attrapa par le bras et l’aida à se relever. Avec une petite grimace de douleur, la jeune femme se releva et réussit à suivre sa sauveuse jusqu’à une ruelle plus éloignée. La domestique ouvrit une porte et fit rentrer la jeune femme. Elle l’aida à s’allonger sur un matelas. Ainsi commença le long travail. Les cris de douleurs redoublèrent tandis que le bébé commençait à pointer le bout de son nez. Enfin, le nourrisson sortit. Avec un regard attendrit, sa mère la nomma. Elle s’appellerait Pandore, Pandore Maxwell. La jeune mère succomba suite à cet accouchement. Une vie pour une vie…

« Pandore, presse-toi donc mon enfant ! » Avec un petit sourire contrit, la jeune demoiselle souleva ses jupons poussiéreux d’une main et descendit les escaliers tout en ajustant sa coiffure de son autre main. En bas, Mlle Agathe Windbury l’attendait avec un petit air réprobateur peint sur le visage. Ses cheveux blond auréolaient son visage de sorte qu’on aurait put croire à un ange, s’il elle n’était pas vêtue de haillons. Un panier à la main, elle attendait que Pandore ce dépêche de descendre. Une fois face à elle, Mlle Windbury passa une main dans les cheveux de Pandore. « Tu aurais put te recoiffer quand même.. Peu importe, hâtons-nous. » Pandore passa encore une fois sa petite main dans ses cheveux bruns avant de sortir avec son ainée. La jeune fillette avait bien grandit et ses long cheveux bruns ne cessait de se décoiffer au rythme entêtant de ses escapades et jeux. Pourtant, elle n’était qu’une domestique, bien jeune, certes, mais une domestique quand même. Elle devait donc aidé Mlle Windbury dans ses tâches. Marchant au coté de son ainé, elle finit par essuyé ses petites mains moites sur son jupon avant de lever son visage vers Agathe. « Dites, Mlle Windbury, où sont mes parents ? » Un long silence suivit les paroles de la petite fille. Une raideur s’installa sur le visage de l’ange blond avant qu’elle ne s’arrête pour prendre la main de sa protégée. « Eh bien.. Ta mère est partie après t’avoir donner la vie, quand à ton père, je ne saurais le dire.. » Pandore, l’œil brillant d’intelligence releva les yeux vers Agathe. « Elle est morte, n’est-ce pas ? » Mlle Windbury se remit en marche rapidement. « Cesse donc de poser des questions et pressons-nous. » Pandore baissa les yeux, la gorge serrée.

« N’oubliez pas de faire l’argenterie ! » Une révérence souple, un signe de tête. « Bien Milady. » Après un sourire crispée, la maîtresse de maison quitta la demeure pour se rendre chez une de es amie dans Bath. La jeune domestique, par contre se retourna, toujours un sourire glacial aux lèvres tandis qu’elle se rendait dans le salon. D’autres domestiques s’afféraient dans la maison. Pandore retrouva Agathe dans le salon et après s’être approchée de l’argenterie, elle jeta son chiffon sur un fauteuil tandis qu’elle se tournait vers son ainé, un air indigné sur le visage. « Je la déteste ! » Après avoir tapé du pied pour appuyer son agacement, Pandore se tourna vers Agathe qui la scruta un air sévère sur le visage. « Pandore ! Cesse donc de te plaindre et fait moi briller l’argenterie de Madame. » Malgré la vingtaine d’année de Pandore, Miss Windbury ne cessait de lui donner des ordres avec ce ton maternel. A quarante ans, la domestique était toujours aussi belle et douce qu’au premier pas de Pandore. Celle-ci, loin d’avoir finit de passer sa colère ramassa le chiffon d’un geste raide et commença à frotter l’argenterie. « Mais elle est aveuglée par son rang, elle ne comprend pas que je suis innocente ! » Le ton était élevé. Indigné et humiliée la jeune femme n’était pas prête de se calmer de si peu. Son tempérament de feu ne l’aidait en rien. « Pandore ! Arrête de me parler sur ce ton et calme toi. Comporte-toi correctement et garde ton rang. » En colère contre toute la maisonnée, la jeune femme cessa cependant de se plaindre et frotta rapidement l’argenterie avant de sortir du salon.

« Tu as demander à me voir ? » La voix de Pandore, légèrement vacillante reflétait son inquiétude. Quoi de plus normal ? Mlle Windbury avait demander à la voir alors que le couvre feu était largement passé. De plus, ça ne lui ressemblait pas d’être si mystérieuse. D’habitude, elle parlait avec tact et douceur, mais disait toujours le fond de sa pensée. Mais là ça n’était plus pareil. Elle avait été très lointaine en rentrant du marché ce matin là. Et sans un regard pour elle lui avait demander de la rejoindre dans sa petite chambre, peu après minuit. Pandore c’était exécuter non sans lui avoir poser nombreuses questions demeurées sans réponse. « Oui, entre mon enfant. » Interloquée par cette appellation qu’elle avait cesser de lui donner depuis longtemps, Pandore avança dans la pièce alors qu’un air désolé attendrissait les traits de Mlle Windbury. Pandore s’approcha d’elle et lui prit les mains, attendant qu’elle commence ses explications. « Tu te rappelles quand je te disais que je ne savais qui était ton père? » Un faible hochement de tête remplis d’effroi suivit sa phrase ponctuée de suspens. « Eh bien.. Je sais qui il est. » Pandore se redressa, attendant de savoir le nom de se père qu’elle avait haït pour l’avoir lâchement abandonné. « C‘est un membre de l‘aristocratie. » Eberluée, elle ne bougea pas, ne comprenant pas comment un père riche et aisé et put abandonner ainsi son enfant. « Et il est ici, à bath… »

« Débarrassez-moi de cette odieuse vermine ! » En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, deux majordomes, un air désolé sur le visage, empoignèrent Pandore et la mirent à la porte, envoyant dans la rue un vieux sac de toile contenant le peu d’affaire que Pandore détenait. La jeune femme se débattait furieusement. « Lâchez-moi ! Je n’ai rien fait ! Laissez-moi tranquille ! » Un des majordome poussa la jeune femme et celle-ci chuta au sol, s’écorchant ainsi la main, la fureur de la jeune demoiselle dédoubla. Pandore se releva et épousseta son jupon, laissant quelques traces de sang sur la robe. Ne voyant pas l’état de son jupon, celle-ci ramassa rageusement son sac et commença à marcher dans les rues de bath. Tout cela ne servait à rien. Elle n’avait nulle part ou aller et aucun argent sur elle. La révolution naissante avait alerté les maître de son ancienne maison et ils avaient vite trouver un prétexte idiot pour la renvoyer à la rue. Mais cela n’étonnait pas Pandore, depuis son plus jeune age, ces gens la détestait, c’était d’ailleurs étonnant qu’elle soit restée si longtemps dans la maisonnée. Sa ville natale lui paraissait maintenant être un horrible labyrinthe dangereux. Qu’allait-elle faire, seule, dans la rue, affamée et assoiffée de vengeance? Mais voilà.. Elle n’était pas seule. La révolution ne tarderait pas à éclore, elle n’avait rien à perdre, alors pourquoi ne pas défendre ses idéaux?


« Sur tous les murs, j’écrirais, je le jure, Liberté Chérie. »

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Prénom /Pseudo/Âge ? Mi' , presque 16 ans.
Code règlement : Ok Morgane !
Célébrité choisie : Anne Hathaway.
Multinicks ? Non.
Où as-tu connu le forum ? Google.
Tu te connecterais sur le forum combien de fois par semaine ? Seulement le week end, étant pensionnaire.
A combien de sujets RP réponds-tu par jour ? Cela dépend de l'inspiration du jour
Un commentaire ? Vous avez vraiment un contexte génial